Choisir les formations à distance

Choisir les formations à distance pour les études supérieures

Entamer des études supérieures, qu’elles soient des hautes écoles ou l’université, n’est jamais chose aisée. Il est d’autant plus difficile que l’enseignant et l’enseignement diffèrent de l’école obligatoire et du gymnase. C’est à cet endroit charnière, entre la fin de l’école obligatoire et les études supérieures, que l’élève doit mûrir. Etre dans un gymnase (lycée ou collège) public, privé ou à l’Institut-Domi, apporte les connaissances nécessaires à cette maturité si convoitée.

La méthode d’apprentissage est un point clé!

Dans des établissements « standards », donc en présentiel, l’étudiant reçoit de la documentation souvent prémâchée, assiste aux cours imposés, suit passivement les explications de son professeur. L’avancement est homogène, sans se soucier des besoins de chacun.
Certes, il est difficile de faire différemment lorsque le programme est très chargé, que l’on doit aller vite, qu’il y a une hiérarchie (op-) pressante et un nombre d’élèves parfois trop élevé à gérer. Le problème réside donc dans le décalage qui va se créer entre ce que les jeunes ont pendant trois ans (quatre ou cinq selon les cantons!) et ce qu’ils auront les cinq années à venir.

Pour pallier à cela, les études à distance solutionnent ce problème. Apprendre depuis chez soi permet d’acquérir des avantages non négligeables pour débuter un nouveau cycle.

Tout d’abord, Il a déjà dû s’imposer une certaine discipline, trouver les sources adéquates pour compléter le cours préparé par le formateur, travailler assidûment depuis chez soi et rendre l’ensemble des devoirs mais à son rythme.
Ensuite l’apprenant choisit, selon les heures dont il dispose et de ses capacités, un cursus faisable dès deux ans, mais surtout extrêmement modulable. Ce système correspond parfaitement, notamment, aux sportifs et/ou artistes d’élite ayant des entrainements intensifs ou un horaire irrégulier.
De plus, l’apprenant a une facilité accrue car il a su s’organiser et se gérer de manière autonome, se libérant ainsi du carcan de l’école publique. Cette dernière prend trop souvent, dans le cas d’une préparation supérieure, les étudiants par la main, pour ne perdre personne en route et les accompagner jusqu’au bout.
Enfin, même si pour réussir sa formation il s’est montré indépendant, il a toujours pu compter, en cas de besoin et en soutien, d’un corps professoral présent et à son écoute que ce soit par mail ou Skype.

En conclusion, si l’étudiant a suivi une maturité à distance comme proposé par l’Institut-Domi, il va pouvoir initier des hautes écoles ou des universités,  même exigeantes, de façon plus sereine et déjà aguerri à cette nouvelle façon d’enseigner.

Raphael Sola